17/08/2015

Combien de temps ...




Personne ne m'a demandé
D'où je viens et où je vais
Vous qui le savez
Effacez mon passage





Joan Baez / Bob Dylan (1962)

6 commentaires:

  1. Ola Nadine,

    Combien de temps ... bonne question !

    Mais on s'en fout, l'année prochaine si on est encore là on paira moins d'impôts.

    https://www.youtube.com/watch?v=5CaUoIEQrB4

    Bises de la nuit.

    Dani.

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  2. Tu as tout à fait raison Dani ;-) ;-) :-)

    Vivement l'année prochaine et comme disait le grand philosophe Abraracourcix : "Souvenez vous ! La seule chose que nous ayons à craindre c'est que le ciel nous tombe sur la tête !"

    Gros becs à toi.

    Boubou

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  3. Coucou Nadine, Paulette et cie

    Plus de nouvelles de toi, encore des facéties de ta boîte mail ?

    Le calendrier est arbitraire mais je dois dire que cette année 2015 est bien particulière. La mort de René Vautier l'ayant inaugurée, je craignais le mauvais augure mais mon imagination était en-dessous de la réalité. Comme toujours, la réalité dépasse la fiction.

    Et elle me cloue souvent le bec. Sidération, on dit.

    Mais lutter pour ne pas s'y perdre.

    (en plus, mon peu de matos me lâche, je n'ai plus de son... heureusement, ces chansons-là, je peux me les chanter dans la tête)

    Plein de gros becs Bloubitchki

    Zane

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  4. Bonjour Zane,

    Heureux qui comme Ulysse .... à la recherche de la liberté retrouvée .... se perdre avec délice dans les montagnes, celles de la naissance de Zeus, non loin de l'endroit où Thésée laissa Ariane sur la plage aux mains de ce coquin de Dyonisos. La caverne était vide mais j'en suis redescendue avec le vent dans la tête et le soleil qui brûle les paupières.

    Le luxe de la fuite là où le corps emporte, parler avec les chèvres et sourire à la beauté des oliviers et monter toujours plus haut .... avant de redescendre au pays des hommes.

    Redescendre ... le corps bien obligée ;-) et le cerveau par palier pour ne pas s'asphyxier trop vite. ...

    La Sidération est toujours là.

    Enormes et tendres baisers mon amie.

    Boubou

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  5. Bonjour chère Boubou,

    Quel beau message...

    Le Grèce me manque, mes amis de là-bas me manquent, les oliviers me manquent, dont un plus particulièrement...

    Depuis quelques mois, j'ai l'impression de flotter, de naviguer à vue avec de temps en temps des moments où je reprends forme, où je trouve des prises pour prendre appui et avancer.
    Trop de pertes en trop peu de temps, ça donne le vertige.
    Souvent, je m'abandonne volontairement à ce flottement sans opposer de résistance, me laisse bercer par le flou, les peines, les doutes pour qu'ils continuent leur chemin librement, un chemin mène forcément quelque part... Je reste à l'écoute de ce qu'il a à me dire.

    Mes résistances, je les garde vivantes par ailleurs... Et là, il y a du boulot...

    Je t'embrasse fort, ma Paulette

    Zane

    Salut à Leny, buena onda...

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  6. Ola belle amie,

    Je ne connais pas les mots pour soulager l'absence d'un olivier ... sauf à emprunter à Brassens les paroles d' "auprès de mon arbre ..." pour que les souvenirs se réchauffent entre les vagues de l'âme et celles du coeur.

    Tendres baisers à toi.

    Boubou

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